
Vers de terre ou vers solitaires ?
Prends un verre de terre mon minou
C’était le jour de la Terre avant avant hier
Vas- y cale-le right through
mais tout doux tout doux
mon atiguydoux
Mère Nature veille aux graines
Vendredi, ça me dit… manche de pelle
Ça m’dit d’dire des niaiseries
car le week-end arrive
Il finit toujours par arriver
le sacré coquin
Envie d’écrire un peu nono ce matin
Envie d’écrire pas de point
Car un point tait tout.
Mais sans trève de virgule
Faut que les mots circulent
Circulez mots, circulez
Quant aux points virgules, ça reculera
Et la chroniq’heure recoucoulera
Juste comme ça,
écrire pour faire sortir la steam
Écrire pour guérir le coq un brin sérieux
Qui veille en chacun de nous
Et qui ne dort jamais
Qui qui rot ? Qui ?
Ielle ne fait que se cacher
Dans le bout du right trou
Dans le bout du trou sans fond
Ainsi font font font
Les petits poémettes
Pomme d’Adam
Orange d’Ève
Feuilles de vigne
où faut que je signe ?
Signe de rien
Et le coeur sur la main
Fait longtemps que mes pieds
Ne foulent plus la main
Avec le gros roux,
le narcisse fou,
le fieffé filou
Je n’irai plus dans le Maine itou
Trop fous ces ricains
Quelques mots fous pour mon chum Nan
Oui Oui Nanane la banane
Juste pour lui dire allo
Juste pour lui crier Yo !
Yo matelot
On vogue sur les flots
On joue avec les mots
Petits et gros, songés et nonos
Mais au fond, comme en surface
Sont-ce eux qui nous r’volent dans face ?
Bon ouiquène
comme dirait ma de plus en plus virtuelle
amie Tatie Ème F
2 jours à rien faire
Rien de plus que d’habitude
Et rien de moins qu’à l’ordinaire
___
Ah ! Si seulement avec une goutte de poésie ou d’amour nous pouvions apaiser la haine du monde !
– Pablo Neruda
Plouc et Floush !

Oui, fin observateur que tu es;
ces calembours nous r’volent dans face.
Quand spontané est pas se tanner
et « sahaja » en Sanskrit.
Sens qui rit.
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