
Sens ton corps, complètement immobile
Regarde à l’intérieur, aussi profond que tu ne le puisses.
Ceci est ton espace.
Et tout au fond, tu trouveras ton coeur, vide.
Ce coeur vide est la porte de l’éternité.
C’est le point de contact entre toi et l’existence.
Ce n’est pas quelque chose de physique ou matériel.
Ni mental ou intellectuel.
C’est au-delà, ça transcende tout le reste.
C’est ta spiritualité.
Souviens-toi, ce vide en ton coeur fais de toi un Bouddha.
Ce moment est béni.
Tous les coeurs ressentent ce silence et cette fusion avec l’existence.
Vous êtes les privilégié(e)s de ce monde.
Relaxe et sens ton corps et ton mental, les deux.
L’emphase devrait reposer sur l’observation.
Cette observation est ton amour secret.
Cette observation est le Bouddha en toi, observant.
– Osho

Merci beloved Master
poupoum, poupoum…. pour toujours, à tout jamais…
une autre façon de le dire ? À la Bobin !
https://www.youtube.com/watch?v=sFf21u3mge0
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Quand quelqu’un meurt, il ne disparaît pas. C’est l’inverse. C’est à ce moment-là que la personne apparaît, parce qu’elle est délivrée d’elle-même, de ses ombres, de sa volonté, de son ambition, de tout projet, de toute connaissance que l’on croyait avoir d’elle. Et il y a un surgissement de quelque chose qui, bizarrement, à l’instant où tout s’efface, est ineffaçable. (…) Les disparus ne sont donc pas des disparus, ils sont une armée douce, fidèle, qui nous assure de recevoir un rayon de soleil.
– Christian Bobin via Jean Gagliardi
Yes!
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