
Et comme ce matin, je me sens un peu coquin, je vais faire s’obstiner deux grands penseurs

Nous ne voyons seulement ce que avec nous quoi nous vibrons
– Bashar
Ce matin, ça fait plusieurs fois que je débute chronique, que j’efface, que je recommence, que j’hésite, que je choisis une autre image et la supprime de nouveau. Bref, je zigonne.
Alors je vous offre deux théories différentes et je vous laisse tout le temps et l’espace pour jouer avec votre mental là-dessus, par et pour vous-même car moi, je n’ai pas le temps de penser à ça, surtout pas ici. Ni ailleurs d’ailleurs. Où là.
Mais attention, car tout ce qui circule sur le web n’est peut-être pas aussi vrai qu’on le dit.

Alors, le temps existe, ou il n’existe pas ? Et l’espace donc.
Pour vous aider, voici les deux règles non-écrites les plus fondamentales qui pourront vous éclairer et vous aider à y voir plus clair :

Mais attention de ne pas trop y penser car

Et parfois, nous sommes de grands artistes, dans l’art de trop penser.
Moi, mon art s’est grandement amélioré quand j’ai arrêté de penser

et de le considérer comme un travail et davantage comme un amoureux qui ne s’en fait pas trop si on fait dégâts.
Et des filles.
Allez, à pluche.

C’est quoi le temps? J’ai l’espace pour y songer,
prendre un moment pour y rêver et me creuser l’esprit
afin de saisir ce qu’est l’éternité sans début ni fin.
Apprendre the Art of Dying et pas juste la chanson de George Harrison.
B’en oui, mourir avant de mourir est comme
se désidentifer et vivre impersonellement …
mais chu pas encore rendu six pieds sous terre.
Mystère!
Ce qui ne change pas m’échappe.
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