UN PAS EN ARRIÈRE – DEUX EN AVANT

Précédant un saut quantique majeur, il y a toujours un dernier et final test karmique. Quelqu’un ou quelque chose se présentera, pour essayer de vous retenir ou de vous garder dans des habitudes du passé. Ce n’est pas le temps de revenir en arrière. C’est le temps de s’élever. Gardez votre fréquence. Les vieilles clés n’ouvrent pas les nouvelles portes.

Nous, le monde, sommes – plausiblement ? possiblement ? probablement ? – sur le bord de quelque chose de majeur, un saut quantique en effet. Comme toujours probablement, mais peut-être un peu plus critique. Car en ce moment plus que jamais peut-être auparavant, le monde est au bord d’un certain gouffre, pour ne pas dire un gouffre certain. Quasi certain du moins.

Mais cette fois, ça semble être plus marqué, plus critique. Avec l’environnement en crise (malgré ce qu’en disent certains), l’IA, les génocides en direct, le marché immobilier inaccessible pour les jeunes, les grands écarts économiques, le retour des petits dictateurs de ruelle et leurs armées de gros bras, la cabale brasse la cabane.

Ces temps-ci, quand on pense que ça ne peut pas être pire, il arrive toujours quelque chose de nouveau.

Et on se met à broyer du noir. À avoir peur, à imaginer le pire, à se décourager.

Mais peut-être que le saut quantique à venir n’est pas aussi négatif que ce à quoi on pourrait s’attendre. Peut-être que comme l’avance Bashar, le monde se prépare à expérimenter un nouveau niveau d’amour inconditionnel sans précédent sur cette planète.

Peut-être que face à cette humanité, on redécouvrira notre humanité. Que devant les inégalités sociales et économiques, l’injustice, le mépris pour la terre et la nature, nous redécouvrirons et ré-apprendrons le partage, la justice et le respect.

Peut-être ça la grande leçon du moment. Peut-être ça le vrai présent. Peut-être que devant un scénario aussi négatif, on n’a plus le choix de puiser dans le meilleur de soi, le meilleur du nous. Peut-être qu’on doit passer du me au we.

Et comme l’affirme ici Carl Sagan: on va peut-être réaliser qu’on ne pourra rien faire si on ne peut respirer l’air ni boire l’eau. On ne peut rester assis.e à ne rien faire, on doit prendre part à ce qui se passe. Nous sommes destiné.e.s à vivre en ces temps critiques de l’histoire de notre planète.

Peut-être que l’on doit découvrir que pour demeurer calme au milieu du chaos, nous devons retourner en soi, trouver une certaine clarté, se centrer, et bouger à partir de ce niveau de conscience supérieur.

On a toujours le choix. Certain.e.s ont un choix plus grand que d’autres. Mais en ce moment, chacun.e de nous doit faire son ptit bout de la grosse job mondiale. en commençant pour notre ptit bout de cour ou de trottoir.

Voilà mon ptit raboutage de mots du fly day composé de belles pensées en ces temps fous, critiques et hyperactifs. En ce début d’été show.

Je nous souhaite le mieux et le meilleur face au pire qui semble nous pendre au bout du nez. Car parfois, le pire est le mieux qui soit.

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Tout véritable révolutionnaire est guidé par un profond sentiment d’amour.
– Che Guevara

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Dans nos moments les plus sombres, nous n’avons besoin ni de solutions ni de conseils.
Ce à quoi nous aspirons, c’est simplement une connexion humaine, une présence silencieuse, un contact doux.
Ces petits gestes sont les ancres qui nous maintiennent stables lorsque la vie nous semble trop dure.
S’il te plaît, n’essaie pas de me réparer. Ne prends pas sur moi ma douleur et ne repousse pas mes ombres.
Assieds-toi simplement à mes côtés tandis que je traverse mes propres tempêtes intérieures. Sois la main ferme vers laquelle je peux tendre pour trouver ma voie.
Ma douleur m’appartient, mes combats m’appartiennent.
Mais ta présence me rappelle que je ne suis pas seule dans ce monde vaste et parfois effrayant.
C’est un rappel discret que je mérite d’être aimée, même lorsque je me sens brisée.
Alors, dans ces heures sombres où je m’égare, seras-tu simplement là ?
Non pas comme un sauveur, mais comme un compagnon.
Tiens-moi la main jusqu’à l’aube, m’aidant à me souvenir de ma force.
Ton soutien silencieux est le cadeau le plus précieux que tu puisses m’offrir.
C’est un amour qui m’aide à me souvenir de qui je suis, même lorsque J’oublie.

~ Ernest Hemingway

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