RÉALITÉ RÉALISTIQUEMENT ÉQUILIBRÉE

On doit adopter la voie du milieu qui consiste à être réalistes – soit de demeurer conscients des dangers qui nous guettent tels la guerre, l’avènement de l’AI, des changements climatiques- et simultanément, tout en demeurant conscients que nous avons la capacité de régler tous ces problèmes.
– Yuval Noah Harari

Nous, les humain.e.s, sommes capables du meilleur comme du pire. Malheureusement, c’st souvent le pire qu’on nous montre.

Est-ce parce que le pire est plus vendeur ? Parce que le pire attire plus facilement nos yeux ?

Parce que nous sommes un peuple ado et les ados adoooorent les films d’horreur ?

Est-ce notre thanatos collectif qui prime sur notre Éros ? L’attrait de la mort plus forte que la vie ?

Ou est-ce plutôt notre instinct de survie collectif qui cherche à connaître les dangers un peu d’avance pour se garder en alerte et pouvoir survivre ?

Est-ce l’avidité d’un groupe dominant au profit du bien des autres ?

Mais c’est peut-être tout simplement parce que ceux qui contrôlent les médias veulent nous garder dans la peur ?

Eux qui, de connivence avec les marchands d’armes, les politiciens et les grandes corpos gloutonnes, veulent nous endormir de menaces et de peur, pour pouvoir continuer leur grand trafic d’influence en tous genre$ ?

On pourrait aller vers un peu de toutes ces réponses, avec un certain penchant pour la dernière théorie – pour ne pas dire un penchant certain.

Comme une grande partie des médias tendent vers le pôle négatif, vers la dualité, la friction et la confrontation, on se doit de garder tous nos clignotants positifs allumés. On doit s’ouvrir les yeux bien grands et réaliser tous les dangers qui nous guettent – ou qu’on nous fait miroiter – tout en gardant le cap vers les solutions et la paix.

Car si on ne se fie qu’à nos écrans, le monde est au bord du gouffre. Toujours. Depuis toujours. Tout va mal tout le temps selon eux, guerres, pollutions et tutti quanti catastrophiques.

Mais si on se branche sur une autre réalité beaucoup moins virtuelle, plus réelle et naturelle, la nature continue sa croissance, les animaux vivent leur vie d’animaux en toute animalité, les plantes poussent et meurent et ainsi va le cycle de la vie.

Quand ça brasse trop dans nos écrans, indispensable de se rebrancher sur une source de vie plus belle, plus naturelle, plus nourrissante. Ne pas fermer les yeux sur le monde bien sûr car de notre monde à tous et toutes qu’il s’agit, dans ce monde que l’on vit, mais ne pas oublier de méditer sur d’autres écrins.

Celui de son coeur, celui de son âme, sur la bonté des gens, sur les beautés vivantes de la nature, qu’elle soit végétale, minérale, animale ou éthérique.

Alors il nous régulièrement fermer nos écrans et nos yeux et revenir à soi, là où réside la source de toute paix. Car si pas là la paix, nulle part ailleurs ne peut-elle se trouver. Ou la retrouver quand on la perd.

Car la paix va et vient. La paix n’est pas nécessairement un état constant ni permanent. La paix ne devrait pas être toujours et partout, car elle est un processus davantage qu’une normalité. Un processus chaotique et rock n roll. Tirant sur le Punk même parfois. La paix doit se mériter, se gagner.

La vie est chaos et changement constant, la vie est un fragile équilibre constitué de déséquilibre permanent. Comme un.e équilibriste marchant sur un fil de fer, porté.e à tomber à gauche ou à droite sans cesse, valsant entre la vie et la mort. En vie mais en route vers la mort certaine du corps. Éventuellement.

Mais d’ici là, tendons du côté de la vie, des solutions, de la beauté, de l’amour et de l’espoir. Car sinon, il ne vaut plus la peine de vivre. Et surtout pas la joie de vivre.

Alors vivons pleinement, et tirons vers la paix de tout coeur, plutôt qu’avec des guns. Fun and roses.

Car déjà assez de monde qui s’occupe du pôle négatif.

Retrouvons notre coeur.

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On vous a appris que le cœur n’était qu’une pompe à viande magnifiée.

Qu’il comprime et pousse le sang comme un engin mécanique rudimentaire.
Un moteur hydraulique fait de chair. C’est ce qu’on veut vous faire croire.
Car si vous adhérez à ce mensonge primitif, vous ne vous posez jamais de questions plus approfondies.
Mais c’est faux. Cela a toujours été faux.

Et la vraie science le prouve.

Le Dr Francisco Torrent-Guasp, chercheur espagnol en cardiologie, a découvert ce que les manuels refusent de reconnaître : le cœur n’est pas une pompe.
Il a disséqué des milliers de cœurs et a découvert que le cœur est une bande musculaire continue, repliée en spirale. Il a prouvé que le cœur fonctionne comme un générateur de vortex, créant une aspiration et un couple, et non une pression.
Il l’a appelé la bande myocardique ventriculaire hélicoïdale, et cela change tout.
Le véritable mouvement du sang provient des différences de pression, du flux électromagnétique et de la résonance cohérente.

Le sang circule en spirale naturellement.
Il n’a pas besoin d’être forcé à travers des kilomètres d’artères et de capillaires.
Cette idée est plus que stupide. La soi-disant pompe n’est pas assez puissante pour propulser un liquide épais à travers 96 000 kilomètres de tubes.
C’est de la physique élémentaire. Ce mensonge était mort-né.

Voici la vérité.
Le sang circule avant la formation du cœur dans l’embryon.
Il circule par fréquence, résonance et charge électrique. Le corps est un champ, pas une usine.
Votre cœur crée un champ électromagnétique toroïdal qui rayonne à six mètres du corps.

Ce champ se synchronise avec la Terre, le Soleil et tous les êtres vivants qui vous entourent. C’est un résonateur.
Un accordeur. Un conducteur.
Il harmonise le rythme de vos cellules.
Il ressent.
Il se souvient.
Il émet.
Et il réagit aux émotions, aux pensées, à la lumière, au son et à la respiration.
Quand vous ressentez de l’amour, du chagrin, de la peur ou de la paix, votre cœur le transmet.

C’est le modulateur de fréquence central de votre biologie.
Pas une pompe.
Et les institutions le savent.

L’Institut HeartMath mesure ces champs depuis des décennies.
Ils savent que le cœur possède plus de cellules neuronales que de parties du cerveau. Ils savent qu’il s’agit d’un deuxième cerveau.
Ils savent que la cohérence cardiaque transforme tout le système nerveux.
Alors pourquoi enseignent-ils encore aux enfants une hypothèse vieille de 400 ans, inventée par William Harvey et jamais mise à jour ?
Parce que si vous connaissiez la vérité, vous n’accepteriez plus jamais les statines ni les bêtabloquants.

Vous comprendriez que les traumatismes, les émotions et la déconnexion perturbent le champ cardiaque, et non le cholestérol.
Vous cesseriez d’obéir au cartel médical et commenceriez à accorder votre corps comme le champ de fréquence intelligent qu’il est.
Ils ne veulent pas d’humains cohérents.

Ils veulent des personnes perturbées, enflammées et fragmentées qui dépendent des médicaments pour survivre.
Tel est le modèle économique.
Et le mensonge de la fausse pompe cardiaque en est le cœur.
Votre cœur n’est pas une soupape de pression.

C’est un vortex.
Un syntoniseur de champ.
Une passerelle de résonance entre les mondes physique et énergétique.
C’est l’instrument de votre âme.
Et il a été détourné par une science qui refuse d’évoluer.
– Jamie Freeman

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