
En général, on nous dit qu’on doit éviter d’entretenir et de nourrir les croyances, qui ne seraient que des idées sans fondements qu’on choisit de croire réelles et qui, selon Krishnamurti, ne sont qu’une signe de peur quand on insiste trop à croire.

Mais tant qu’à vivre dans un monde qui semble fou et sur lequel on a si peu d’influence, je décide de devenir un adepte du meilleurisme et de croire que l’on puisse contribuer à changer positivement et améliorer le monde par des actions d’amour, de créativité, de compassion et de bonté.
Ça donne un sens à la vie, ça inspire à faire notre part, aussi petite puisse-t-elle être.
Car on ne peut agir qu’à notre mesure et à notre échelle, localement, en soi et autour de soi. Et espérer que ça fasse des vagues. Que ça nous donne une cohérence interne qui se répercutera sur notre petit et plus grand monde. Car penser globalement a peut-être ses vertus, nous force à ouvrir notre esprit et développe l’empathie, mais ça tend à rendre un peu fou aussi et surtout à nous faire sentir impuissant(e)s devant tout ce qu’il y a à faire pour améliorer le monde.
Et au niveau des actions, on ne peut que commencer en soi, puis autour de soi, et si c’est juste, ça va grandir de soi car j’ose aussi croire que la vie soutient la vie. Même si, parfois, à voir l’état du monde à-travers nos écrans, on peut en douter.
Alors chers lecteurs/trices, allons-y pour des actions d’amour, de créativité, de compassion et de bonté car c’est tout ce que l’on peut faire, que cela qui est en notre petit et limité et réaliste pouvoir. Mettons-y ce vouloir aussi.
Et si chacun chacune adopte cette croyance, suivie d’actions concrètes, ce qui est le cas de la plupart des gens j’aime croire aussi, le monde ne pourra que se porter mieux, être plus beau et plus doux à vivre dedans.

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